Troubles de comportements alimentaires
Nos habitudes alimentaires sont culturelles
Ce que nous mangeons, comment nous organisons nos repas, comment nous les avalons… tout cela parle de nous. Nos comportements alimentaires sont influencés par notre culture, notre milieu de vie, les personnes de notre entourage. De plus ils révèlent non seulement notre tempérament, nos valeurs… mais aussi l’importance que nous nous accordons que nous avons pour nous-même et nos proches, l’estime que nous nous, nous leur, portons. Tout cela nous le savons intuitivement. Et c’est bien cela qui nous empêche de changer. Les recettes traditionnelles de la famille, celles qui passent d’une génération à l’autre sont plus qu’une nourriture physique. Certaines préparations nous consolent et nous réconfortent. Elles apaisent nos peurs.
D’autres au contraire nous insécurisent. Elles appartiennent à une autre culture, un autre milieu. Les adopter, ne serait-ce pas se renier ? S’identifier à telle personne ou tel groupe de personnes qu’on a en horreur?
L’influence de ce que nous mangeons
Ceci n’est pas tout à fait faux. Un changement d’alimentation et de comportement alimentaire transforme non seulement notre physique mais aussi notre façon de penser, nos humeurs, nos envies, nos projets et parfois même notre milieu de vie, notre entourage, notre culture.
La nourriture nous transforme de l’intérieur. Nous avons tous expérimenté l’influence de certaines substances sur nos comportements. Pensez notamment aux effets de l’alcool, ou d’un repas trop gras, trop copieux. Personnellement, je me souviens par exemple d’un professeur de math qui avait deux heures avec nous le jeudi à 13h30, le fameux “jour des frites”. Il s’arrachait les cheveux et ne comprenait pas comment on pouvait servir ce type de repas avant ses cours.
Par expérience, nous savons aussi que certains aliments ou certaines boissons nous apaisent et nous réconfortent alors que d’autres nous excitent et nous dynamisent.
La science confirme
Des expériences de plus en plus nombreuses confirment nos perceptions. Les effets du sucre sur nos comportements ont été explicités démontrés à plusieurs reprises. Je vous laisse suivre le lien! Inutile de réécrire ce qui est bien décrit ailleurs.
Les effets du gluten sont également nombreux. Pour ne prendre que ceux qui sont liés à notre psychisme, une intolérance au gluten peut entraîner de l’hyperactivité, des troubles de l’apprentissage, de l’attention, de la mémoire, du sommeil, un manque de confiance en soi, un retrait, de la dépression… L’affectivité et la socialisation sont affectés.
La nourriture dont nous avons besoin.
Aujourd’hui, nous mangeons trop et pourtant nos cellules ont faim, comme je l’explique dans l’article ICI. Elles manquent de minéraux. Elles réclament sans cesse! Nourrissez vos cellules avec des aliments riches en nutriments, et vous serez moins tenté de chercher toujours plus de nourriture. C’est un premier pas dans tout régime alimentaire!
Des restrictions caloriques ont souvent l’effet contraire de celui qui est désiré. Votre corps stocke d’autant plus qu’il sait que vous allez restreindre les rations. Il s’agit moins de diminuer les portions que de les rendre plus saines, plus riches.
Plutôt que de retirer quelque chose, vous pouvez commencer par exemple par ajouter des jus de légumes frais. Un bon extracteur de jus, des légumes frais, bios, locaux et qui ont poussé dans un sol vivant et riche en micro-nutriments feront l’affaire. Vous commencez vos repas principaux par un grand verre de jus.
Un long passé de régimes et de YOYO
C’est un peu trop simple me direz-vous si vous avez déjà tout essayé. Mais que risquez-vous? Pour une fois, vous ne vous priverez pas.
Vous avez besoin d’aide, d’un soutien? Alors, je peux faire un bilan avec vous pour mettre en évidence toutes vos pensées auto-bloquantes toutes ces fausses croyances qui vous ont empêché de changer. Et si vous le désirez, je peux vous suivre après.
Voyez ICI ce que je vous propose. Arrêtez de tourner seul en rond!